Par manque de confiance, par laisser-aller ou par abdication, il lui est bien souvent difficile de se rendre compte que l’existence dépend non seulement d’impondérables, mais en outre d’une soif de se connaître lui-même malgré les déséquilibres que cela peut entraîner. Il lui est toujours plus difficile de se remettre constamment en question, mais plus insupportable encore est pour lui le sentiment de n’être qu’un fétu de paille à la merci du vent. Aussi, cette suite fait-elle appel au coeur et à la rage de vivre. Ne pas être simple spectateur. Ne pas avoir peur de l’erreur. Allez au bout de soi avec le doute et la satisfaction de ne pas être en reste avec la vie.